Accueil > Voir et faire > Photothèque > Voyage au cœur de la biodiversité > Génétique et biodiversité

Génétique et biodiversité

Mitose Méïose Brin d'ADN
© CNRS Photothèque/PLAILLY Philippe
Ovocytes (cellule sexuelle femelle) de patelle (mollusque marin) se préparant à la méiose, processus de division cellulaire qui permet le brassage génétique.
© CNRS Photothèque/PLAILLY Philippe
Spermatozoïdes dans la vésicule séminale (organe de stockage) du mâle de la drosophile.
© CNRS Photothèque/BRESSAC C.
Pollen de tournesol.
© CNRS Photothèque/COT Didier
Les chromosomes des cellules en métaphase (deuxième phase de la division cellulaire par mitose) sont facilement observables en raison de la compaction de leur ADN. (grossissement : x 100)
© CNRS Photothèque/PILLAIRE Marie-Jeanne
Embryon de souris, 6 jours et demi après la fécondation. Largeur : environ 0,18 mm.
© CNRS Photothèque/Institut Jacques Monod/GURCHENKOV Vasily
Séparation de différents fragments d'ADN obtenus par hydrolyse enzymatique d'un plasmide.
© CNRS Photothèque/JANNIN François
Assemblage de séquences de nucléotides. Chaque trait (rouge et vert) correspond à une séquence.
© CNRS Photothèque/RAGUET Hubert
Une équipe de chercheurs (MNHN, CNRS et Université Montpellier 2) a découvert une nouvelle espèce de souris présente uniquement sur l'île de Chypre, qu'ils ont baptisée Mus cypriacus. Elle a un crâne plus massif et un appareil masticateur plus robuste que les autres souris européennes. La phylogénie de l'ADN mitochondrial a confirmé qu'il s'agissait d'une espèce différente des souris actuelles. Les similarités des formes dentaires ont montré qu'elle était très proche des souris fossiles du Pléistocène. L'arrivée probable d'une de ses ancêtres par radeau naturel il y a des centaines de milliers d'années, et son isolement vis-à-vis des populations continentales, a favorisé son adaptation à l'environnement local, puis son évolution en une espèce distincte.
© CNRS Photothèque/ORTH Anne-Marie
Manipulation d'ADN humain pour en étudier les gènes. L'analyse de 3 millions de mutations génétiques a permis d'identifier 582 gènes soumis à la sélection naturelle. Ces recherches ont été effectuées dans le cadre du projet international Hapmap qui vise à cataloguer les similitudes et les différences génétiques entre les humains.
© CNRS Photothèque/RAGUET Hubert
Photographie d'un précipité d'ADN extrait de tissu murin. L'ADN se présente sous forme de filaments blanchâtres formant la «méduse».
© CNRS Photothèque/VIALA Françoise
Haricot commun : les parents d'un croisement de deux lignées pures (à gauche d'origine andine, à droite d'origine méso-américaine) encerclés par leur descendance (lignées recombinantes).
© CNRS Photothèque/BOYER Roland
Contrairement à d'autres espèces de bétail, les chèvres actuelles ne présentent qu'une très faible variabilité génétique intercontinentale. Cette grande homogénéité serait le signe d'un échange important de gènes. Autrement dit, les chèvres domestiques auraient beaucoup bougé au cours de l'histoire de l'humanité.
© CNRS Photothèque/TABERLET Pierre
Pépinière de lignées de pois pour la sélection variétale.
© ALBARET Pierre/INRA
Lignées d'endives rouges obtenues par croisement d'endives et de chicorée Chioggia.
© DORE Claire/INRA
Tête de coq X33 sélectionné sur le poids vif.
© SLAGMULDER Christian/INRA
Coqs des souches Y11 (à gauche) et Y33 (à droite). Le premier a été sélectionné depuis 1984 sur le poids, le poids de filet et contre l'engraissement. Le second a été laissé sans sélection.
© SLAGMULDER Christian/INRA