NEO, E-formation à la sécurité pour les nouveaux entrants

Cristal collectif du CNRS
De gauche à droite : Céline Bataillon, Stéphane Leblanc, Marie-Paule Pantusi

Lauréats

  • Céline Bataillon, ingénieure de prévention et de sécurité - Coordination nationale de prévention et de sécurité (CNPS)  - Délégation Île-de-France Meudon
  • Stéphane Leblanc, ingénieur régional de prévention et de sécurité - Délégation Occitanie Ouest
  • Marie-Paule Pantusi, ingénieure en développement et déploiement d'applications - Direction des systèmes d'information (DSI) - Délégation Occitanie Ouest

NEO est une plateforme nationale de e-learning mise à la disposition des structures CNRS depuis 2014, permettant de répondre à l’obligation règlementaire de formation en matière de prévention des risques professionnels de tout nouvel entrant ou nouvelle entrante au sein du CNRS. Son objectif est de simplifier, moderniser et dématérialiser cette obligation règlementaire au niveau national.

Sans équivalent à cette échelle dans l’enseignement supérieur et la recherche, la plateforme d’e-learning NEO, pilotée par le CNRS et l’Inserm depuis ses débuts, répond de manière innovante à cette obligation règlementaire. Tous les personnels, quels que soient leur statut, leur employeur et la durée de leur contrat, sont concernés. Composée d'un ingénieur et d'une ingénieure de prévention et d’une ingénieure en conception de logiciels, l’équipe en charge du projet a su imaginer et développer un parcours de formation pédagogique, interactif et personnalisable composé de modules conçus spécifiquement pour le monde de la recherche. Ce dispositif, déployé depuis 2014, s’est enrichi récemment de nouveaux modules et l’équipe s’est investie, depuis deux ans, dans la refonte de tous les supports et de leur design pour répondre à son utilisation exponentielle et pour y intégrer de nouvelles activités pédagogiques. Ce dispositif a fait ses preuves puisque plus de 16 000 agents d’unités CNRS ont été formés par NEO depuis son lancement et plus de 23 000 au total en y associant ceux des unités de l’Inserm. Désormais, plus d’un tiers des structures du CNRS utilisent NEO, un chiffre en constante augmentation.