CNRS HEBDO

Des chercheurs du CNRS lancent un nouveau questionnaire pour mieux comprendre l’impact de cette maladie sur la vie quotidienne.

Découvrez dans ce reportage comment des chercheurs étudient le masque, objet devenu aujourd’hui indispensable comme barrière contre la COVID-19 et tentent de comprendre comment les gouttelettes, issues de notre respiration et éternuements, se propagent dans l’air.

Des chercheurs ont montré que le SARS-CoV-2 se multiplie efficacement dans les voies respiratoires, qu’il cible principalement les cellules ciliées de l’épithélium et détruit leurs cils.

L’intranet du CNRS met à la disposition de tous les personnels qui travaillent dans une unité dont le CNRS est tutelle, quel que soit leur employeur, des informations actualisées liées au coronavirus.

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• Coronavirus : sur le front scientifique
• Si vous ne savez pas comment vous connecter

CNRS Images met en place une commission annuelle d’aide à la production d’œuvres audiovisuelles documentaires destinée à des scientifiques appartenant au CNRS et membres d’une UMR dont le projet est soutenu par leur directeur d’unité. Date limite de dépôts des projets le 1^er octobre 2021.

La lettre de l'Institut des sciences humaines et sociales de juillet 2021, est parue.

Le partenariat établi depuis 1999 entre le CNRS et la société Raith pour l’amélioration de la résolution des nanostructures, a mené à la commercialisation d’une technologie unique au monde. Vingt ans plus tard, leurs travaux se poursuivent, après avoir donné naissance à quatre générations de produits.

Une équipe de l'Institut de recherche en informatique de Toulouse a développé une méthode d'intelligence artificielle innovante pour prédire les pannes sur les lignes électriques aériennes.

Né d’une grande collaboration internationale, le nouveau spectrographe Weave répondra aux besoins de la communauté astronomique qui se dote ainsi d'un outil plus efficace pour observer l’Univers.

Le CNRS, en collaboration avec six autres organismes de recherche, écoles et universités lance une nouvelle plateforme en sciences humaines et sociales sur la thématique de la santé.

Des scientifiques ont développé une technique d’imagerie optique avancée, qui permet de réaliser une évaluation de l’état de conservation des parchemins, sans contact et non destructive.

La Fondation Nouveaux Espoirs lance son premier appel à candidatures pour financer des projets de recherche sur la maladie de Lyme et les maladies vectorielles à tiques. Date limite de candidature le 22 octobre 2021.

A partir d'analyses de la zone d'alimentation magmatique sous le volcan Morne Trois Pitons-Micotrin, sur l'île de la Dominique, une équipe composée de membres de l'Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP, CNRS/ IGN / Université de la Réunion) a déchiffré le stockage des magmas sous les volcans pour mieux anticiper les éruptions explosives. 

Passer des matières premières pétrochimiques aux matières premières issues de ressources renouvelables permettrait de résoudre certains des problèmes environnementaux liés à la production des plastiques. Des chercheurs de l’équipe Chimie organométallique et catalyse de polymérisation de l’Institut de recherche de chimie Paris (CNRS/Chimie ParisTech, PSL Université) ont développé une stratégie unique de synthèse « one-pot » sous conditions douces pour la synthèse de copolymères à partir de molécules biosourcées.

Le séquençage à haut débit permet aujourd’hui de séquencer la majorité des acides nucléiques (ADN, ARN) présents dans un échantillon d'eau de mer et d’en caractériser les communautés planctoniques, composées principalement d’organismes microscopiques. Une équipe de recherche a combiné les approches de métagénomique à haut-débit à des techniques d'apprentissage automatique issues du machine learning. L’objectif : prédire la composition génomique du plancton à partir du contexte environnemental pour, à terme, pouvoir prédire les effets du changement climatique sur ces micro-organismes.

Alors que le cerveau sait quelles synapses préserver, les réseaux de neurones artificiels remploient arbitrairement certaines de leurs parties. La principale conséquence est qu’ils oublient souvent une tâche déjà apprise lorsqu’ils essayent d’en maîtriser une nouvelle. Des chercheurs du Centre de nanosciences et de nanotechnologies - C2N (CNRS/Université Paris-Saclay) ont montré qu’un certain type de réseaux de neurones artificiels, dits binarisés, pouvaient se prémunir de ces oublis catastrophiques.