Communiqué de presse commun CNRS, CEA, UPSUD et UJF - 28
février 2013.
L'augmentation de température en Antarctique durant la
dernière déglaciation (il y a 20 000 à 10 000
ans) se serait produite en même temps que l'augmentation de
la concentration en dioxyde de carbone (CO2). Cette
découverte a été effectuée par une
équipe européenne menée par des chercheurs
français du CNRS, du CEA, des universités de
Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et Joseph Fourier - Grenoble1
à partir de l'analyse de glaces issues de 5 forages en
Antarctique. Elle vient contredire de précédents
travaux qui indiquaient un retard de la hausse du CO2 par rapport
à celle des températures antarctiques. Ces nouveaux
résultats suggèrent donc que le CO2 pourrait
être une cause possible de ce réchauffement. Ils sont
publiés le 1er mars dans la revue Science.
Laboratoire de la délégation concerné :
Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE,
CNRS/CEA/UVSQ).
Cette « image » à l’échelle
atomique de MLH1 permettra de mieux comprendre les processus
génétiques à l’origine de la maladie. Ce
résultat constitue le départ d’un projet
clinique d’aide au diagnostic, avec l’hôpital de
la Timone (Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille) et
l’Institut Curie (en région parisienne), pour cibler
les traitements en fonction des nombreuses variantes de cette
anomalie.
Ces travaux sont publiés dans Nature Structural &
Molecular Biology le 24 février (en ligne).