Ces résultats viennent d'être mis en
évidence par l'équipe lilloise du professeur Philippe
Froguel, de l'UMR8199 «
Génomique et physiologie moléculaire des maladies
métaboliques » (CNRS / Université Lille 2 Droit
et Santé / Institut Pasteur de Lille), en collaboration avec
l'Imperial College de
Londres, le Centre hospitalier
universitaire vaudois de Lausanne, et dix autres groupes de
recherche européens. Ils ont été
publiés le 4 février 2010 dans la revue
Nature 2010, 463(7281):671-5 (PMID: 20130649, doi:10.1038)