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L'œuvre : décrypter Platonium

Le temps de la Fête des lumières, du 8 au 10 décembre 2016, le CNRS vous invite à découvrir une œuvre art-science ambitieuse. Son originalité : elle est entièrement pensée à partir de recherches actuelles totalement ré-interprétées par le regard d’un artiste. Un dispositif éphémère, constitué d’installations, de mise en lumière, de sons et de vidéos sera déployé dans la cour de l’Hôtel de Ville de Lyon. Au fait, pourquoi l’œuvre s’appelle-t-elle Platonium ? Simple clin d’œil au mythe de la caverne de Platon : tout comme le cheminement proposé au public dans cette installation, le philosophe nous incite à sortir de l’obscurité pour comprendre le monde.

Les installations

Dans la cour haute

Le centre de l’œuvre est une suspension monumentale disposée au centre de la cour haute. 324 lamelles de tissu luminescent de couleur bleue suspendues à six mètres de haut se reflètent sur un miroir posé au sol. Tandis qu’une lumière magenta habille les façades de la cour. En savoir plus sur la cour haute

En fin de cour haute

Colorée grâce à la fluorescéine, qui doit son nom à la fluorite, l’eau de la fontaine située au fond de la cour émet une lumière verte dont la fluorescence est activée à l'aide d'un dispositif de projecteurs UV. En savoir plus sur la fontaine

Dans la cour basse

Un système de dépollution par photocatalyse utilisant les mêmes tissus lumineux que l’installation monumentale de la cour haute occupe la cour basse à la manière d’une sculpture. Un point d’orgue qui marque l’originalité de cette production CNRS, entièrement nourrie de recherches actuelles. En savoir plus sur le réacteur photocatalytique