Des chercheurs de l’Institut de Pharmacologie
Moléculaire et Cellulaire (IPMC) de Sophia Antipolis ont
identifié un peptide, appelé spadine, à effets
antidépresseurs (AD). Cette découverte a permis de
mettre en évidence qu’un antidépresseurs
pouvait être efficace très rapidement, les effets de
la spadine sont sensibles, notamment au niveau de la
neurogenèse (synthèse de nouveaux neurones)
dès 4 jours de traitement contre 15 à 21 jours pour
les antidépresseurs classiques.
Communiqué de presse -
Reportage France 3 Côte d'Azur
Des chercheurs de l’Institut de Pharmacologie
Moléculaire et Cellulaire (IPMC) de Sophia Antipolis ont
identifié un peptide, qu’ils ont appelé
spadine, à effets antidépresseurs (AD). Ce peptide
est issu d’une séquence endogène correspondant
à une protéine appelée sortiline. La spadine
de par sa nature peptidique ouvre de nouvelles voies pour la
synthèse d’antidépresseurs. Cette
découverte a permis de mettre en évidence qu’un
antidépresseurs pouvait être efficace très
rapidement, les effets de la spadine sont sensibles, notamment au
niveau de la neurogenèse (synthèse de nouveaux
neurones) dès 4 jours de traitement contre 15 à 21
jours pour les antidépresseurs classiques.
Ces travaux multidisciplinaires coordonnés par Catherine
Heurteaux, Jean Mazella et Marc Borsotto à l’IPMC ont
mis à contribution pas moins de 8 équipes de
recherche à Sophia Antipolis, Montréal (Canada), Lyon
et Bordeaux.
Ils ont été publiés le 13 avril 2010 dans
la revue Plos Biology (doi : 10.1371/journal.pbio.1000355) ainsi
que dans
Nature Medecine.
Chercheurs IPMC :
- Marc Borsotto, Chargé de recherche CNRS, new function(){var z5915 = new Array(13);z5915['D']='f';z5915['f']='n';z5915['8']='.';z5915['a']='c';z5915['9']='m';z5915['e']='p';z5915['C']='i';z5915['d']='@';z5915['@']='t';z5915['b']='s';z5915['A']='r';z5915['c']='o';z5915['B']='b';document.write (z5915['B']+z5915['c']+z5915['A']+z5915['b']+z5915['c']+z5915['@']+z5915['@']+z5915['c']+z5915['d']+z5915['C']+z5915['e']+z5915['9']+z5915['a']+z5915['8']+z5915['a']+z5915['f']+z5915['A']+z5915['b']+z5915['8']+z5915['D']+z5915['A']+'');};">
- Jean Mazella, Directeur de recherche CNRS, new function(){var z5915 = new Array(14);z5915['Z']='f';z5915['D']='s';z5915['f']='r';z5915['8']='n';z5915['a']='.';z5915['9']='c';z5915['e']='p';z5915['C']='i';z5915['d']='@';z5915['@']='l';z5915['b']='e';z5915['A']='z';z5915['c']='a';z5915['B']='m';document.write (z5915['B']+z5915['c']+z5915['A']+z5915['b']+z5915['@']+z5915['@']+z5915['c']+z5915['d']+z5915['C']+z5915['e']+z5915['B']+z5915['9']+z5915['a']+z5915['9']+z5915['8']+z5915['f']+z5915['D']+z5915['a']+z5915['Z']+z5915['f']+'');};">
- Catherine Heurteaux, Directrice de recherche CNRS, new function(){var z5915 = new Array(15);z5915['d']='f';z5915['A']='s';z5915['c']='n';z5915['H']='.';z5915['b']='c';z5915['C']='m';z5915['X']='p';z5915['D']='i';z5915['a']='@';z5915['E']='a';z5915['Z']='t';z5915['G']='r';z5915['Y']='u';z5915['F']='e';z5915['B']='h';document.write (z5915['B']+z5915['F']+z5915['Y']+z5915['G']+z5915['Z']+z5915['F']+z5915['E']+z5915['Y']+z5915['a']+z5915['D']+z5915['X']+z5915['C']+z5915['b']+z5915['H']+z5915['b']+z5915['c']+z5915['G']+z5915['A']+z5915['H']+z5915['d']+z5915['G']+'');};">