Le CNRS diffuse une newsletter Spécial COVID-19 pour informer les personnels sur les mesures prises par l'établissement.
Le Centre de médecine comportementale de Montréal lance une étude internationale pour évaluer les perceptions du public face aux mesures prises pour ralentir la propagation du COVID-19. Objectif : fournir aux autorités sanitaires des informations précieuses sur l’efficacité des stratégies actuelles.
Dons de matériels pour les personnels soignants, volontariats, recherches : une forte mobilisation scientifique en Rhône-Alpes.
L’intranet du CNRS met à la disposition de tous les personnels qui travaillent dans une unité dont le CNRS est tutelle, quel que soit leur employeur, des informations actualisées liées au coronavirus.
La campagne des entretiens annuels 2020 se déroule jusqu’à mi-juin et sera l'occasion pour l'agent et son responsable de dresser un bilan de l’année passée, de définir les objectifs de l'année à venir et de discuter des projets individuels et collectifs de l’unité ou du service.
Jean-Paul Toutain, directeur du bureau du CNRS basé à Singapour, revient sur la mobilisation de la recherche et la situation à Singapour.
L'anthropologue Yannick Jaffré explique comment la jeunesse de la population, les inégalités sociales, les structures de la vie quotidienne ou la méfiance envers les politiques auront un impact crucial sur l'épidémie en Afrique.
Le film produit par CNRS Images présente l’innovation thérapeutique développée par la start-up SideROS et basée sur les travaux de Raphaël Rodriguez, directeur de recherche au CNRS : de nouvelles stratégies anticancéreuses qui ciblent le fer contenu dans les cellules souches résistantes aux traitements.
Le CNRS se mobilise pour vous donner des informations scientifiques fiables sur la pandémie.
Jamal Atif, spécialiste en science des données, explique comment les chercheurs accèderont aux données de mobilité des utilisateurs de Facebook, sans compromettre leur vie privée, pour mieux comprendre la dynamique de la pandémie.
Le CNRS a pris des mesures exceptionnelles pour soutenir des recherches à Lille, Lyon, Marseille, Montpellier et Paris où le travail scientifique se poursuit et s’accélère.
Plus de 500 scientifiques de 38 pays, au sein du consortium mondial, vont étudier la perte du goût et/ou de l'odorat liée au COVID-19, au travers d'une grande enquête internationale menée sous forme d’un court questionnaire, à destination des malades ou anciens malades.
Questionnaire en ligne ici.
Le neuroscientifique Antoine Lutz nous explique pourquoi la méditation apparaît comme un recours efficace contre le stress ou la souffrance en ces temps d’incertitudes et de changements brutaux.
Découvrez les trois derniers podcasts de la série : Combien de temps le virus SARS-CoV-2, peut-il rester infectieux sur des surfaces ?, Les stratégies sociales pour endiguer la pandémie et Le confinement en France, premiers résultats et conséquences pour l’après.
Les derniers podcasts de la série sont en ligne : Comment se déroule l’épidémie en Inde ?, Le confinement aggrave-t-il les inégalités scolaires ? et Les robots sociaux vont-ils intégrer les services de réanimation ?.
Le Centre de recherches internationales (CNRS/Sciences Po Paris) propose en ligne des articles, des entretiens et une page "Ressources"
Le Centre pour la communication scientifique directe a mis en ligne un accès direct aux publications liées à l'épidémie via l'archive ouverte HAL.
Le site Covid Tenders présente un ensemble d'appels à projets internationaux liés à la pandémie.
Innovation, avant-projets, ruptures technologiques, phénomènes complexes : proposez vos idées pour l'élaboration des futurs systèmes de lancement du Cnes.
Date limite de candidature le 29 mai 2020.
Une sélection du meilleur de la production mondiale de films scientifiques sera présentée lors de la 16e édition du festival Pariscience du 8 au 28 octobre, au Muséum national d'Histoire naturelle et à l'Institut de physique du globe de Paris.
Date limite de candidature le 15 mai 2020.
Cet appel à projets international est destiné à accompagner le développement de solutions à impact technologique et/ou social afin d'aider les systèmes de santé et les populations à faire face à la pandémie.
Date limite de candidature le 3 mai 2020.
Découvrez les dernières vidéos de la série "Au cœur des cartes" : La carte dite de Christophe Colomb (1488-1492) et Planisphère (1505) par Nicolas Caverio.
Retrouvez tous les épisodes de la série sur la chaine YouTube du CNRS.
Le Muséum national d'Histoire naturelle met en ligne une série de 12 épisodes pour mieux connaître la nature, appréhender le vivant et le monde qui nous entoure, face à l'effondrement environnemental.
Certaines ornent nos jardins, d’autres attirent notre regard par leur beauté, leur originalité, leur exotisme... Les espèces exotiques envahissantes ont parfois leur charisme, mais elles sont pourtant l’une des causes majeures de l’érosion de la biodiversité. Yves Meinard du Laboratoire d’analyse et modélisation de systèmes pour l’aide à la décision (LAMSADE - CNRS/Université Paris-Dauphine) a apporté son expertise dans une équipe pluridisciplinaire pour déterminer comment le charisme des espèces peut influencer les différents types d’aide à la décision.
Alors que les feuillets d’oxyde de graphène constituent des membranes très prometteuses pour filtrer l’eau, le comportement précis de l’eau au contact du matériau reste méconnu. À l’aide d’un supercalculateur, des chercheurs des laboratoires PASTEUR (CNRS/ENS/Sorbonne université) et de l’IRCP (CNRS/Chimie ParisTech/Ministère de la culture), ont conçu un nouveau modèle de ces interactions, montrant la formation de grappes de fonctions oxygénées le long des lames d’oxyde de graphène. Publiés dans Nature Communications, ces travaux expliquent comment les feuillets de graphène s’organisent et devraient donc aider à une meilleure filtration de l’eau.
Des physiciens du Laboratoire de physique de l’ENS (ENS-PSL/CNRS/Sorbonne Université/Université de Paris) et du Centre de nanosciences et de nanotechnologies (CNRS/Université Paris-Saclay) mettent en évidence les propriétés quantiques exotiques des anyons, particules intermédiaires entre les fermions et les bosons. Leurs travaux font la une de la revue scientifique américaine Science.
Si nous vivons dans un monde de matière, c’est parce que celle-ci a très vite pris le dessus sur l’antimatière, alors qu’elles ont toutes deux été créées en quantités parfaitement égales par le Big Bang, aux premiers instants de notre Univers. De forts indices d’une différence de comportement des neutrinos et des antineutrinos, les particules d’antimatière qui leur sont associées, sont rapportés le 16 avril 2020 dans Nature, dont ils font la couverture. Ils offrent une piste prometteuse pour expliquer l’asymétrie entre matière et antimatière. Ces observations de l'expérience T2K menée au Japon et à laquelle sont associés trois laboratoires français du CNRS, de l’École polytechnique - Institut polytechnique de Paris, de Sorbonne Université et du CEA, pourraient nous aider à expliquer cette mystérieuse disparition.
Avec ses 78 % de diazote et ses 21 % de dioxygène, l’atmosphère terrestre est un mélange unique dans le système solaire. Le dioxygène a été produit par certains des premiers organismes vivants, mais d’où vient le diazote ? S’est-il échappé du manteau terrestre grâce au volcanisme ?
Pour tenter de répondre à ces questions, des chercheurs de l'IPGP - Institut de Physique du Globe de Paris ont prélevé des échantillons de gaz dans divers sites volcaniques sur Terre. Les mesures révèlent que le diazote ne provient pas du dégazage du manteau terrestre. Le mystère demeure, mais ces premiers résultats pourraient aider à prévoir le réveil des volcans.
L’épidémie de Covid-19 a coupé les patients hospitalisés de leurs proches qui ne peuvent leur rendre visite. Dans ce podcast, l’informaticien Guillaume Morel, Enseignant-chercheur à l'Institut des Systèmes Intelligents et de Robotique (ISIR- CNRS/Sorbonne Université/INSERM), nous parle de petits robots humanoïdes, qui font l’objet d’une expérimentation à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière pour faciliter la communication entre patients et familles, mais aussi avec les équipes de soin.
Petit appartement en ville ou maison à la campagne, les conditions de confinement sont loin d’être partout les mêmes. On estime que 1,2 million de Franciliens auraient quitté la région, pour différentes raisons que nous expose la sociologue Stéphanie Vermeersch du Laboratoire Architecture Ville Urbanisme Environnement (LAVUE) dans ce podcast. Pour elle, cet élan vers la nature ne présage pas forcément à long terme d’un retour à la terre.
Suite à la réduction drastique du trafic routier liée au confinement, une diminution de plus de la moitié des concentrations en oxydes d’azote dans l’atmosphère parisienne a été relevée par le réseau de mesures Airparif. En revanche, les particules fines sont encore très présentes. Pour quelle raison ? Grâce à un instrument de pointe installé sur le toit de Sorbonne Université et permettant de mesurer en temps réel les concentrations atmosphérique d’ammoniac, une équipe du Laboratoire « atmosphères et observations spatiales » (LATMOS/IPSL, CNRS / UVSQ / Sorbonne Université / CNES) a pu associer directement cette pollution aux activités agricoles.
Depuis la fermeture des écoles il y a un mois, les enseignants tentent de préserver le lien avec leurs élèves. Mais derrière cette volonté de continuité pédagogique se cachent des situations très diverses faisant ressortir les inégalités entre élèves, comme l’analyse Anne Barrère, sociologue de l’école et de l’éducation au Cerlis - Centre de recherche sur les liens sociaux dans ce podcast.
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