Une étude internationale, menée par une équipe de chercheuses et de chercheurs de Sorbonne Université, de l’Inserm, du CNRS et de l'université McGill (Montréal, Canada), a permis d’identifier un dysfonctionnement neurobiologique pouvant conduire à l'anorexie chez un rongeur. Cette découverte ouvre la voie à un traitement potentiel de cette maladie psychiatrique, qui concerne des millions de personnes et qui a un taux de mortalité très élevé. Ces découvertes chez l’animal sont en cours de validation chez l’humain, où plus d'une dizaine de patientes et de patients répondent positivement au traitement. Cette étude fait l'objet d'un article publié dans la revue Nature Communications.
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