Fondée sur des décennies de confiance et d’échanges, la coopération scientifique internationale se voit aujourd’hui fragilisée par les incertitudes géopolitiques et le désengagement de certains partenaires, au premier rang desquels les États-Unis. Face à ces tensions, les chercheurs européens – et notamment ceux du CNRS – esquissent les contours d’une souveraineté scientifique nouvelle, à la fois ouverte et durable.
Lire l'actualité À l’heure d’une souveraineté scientifique partagée