Le CNRS

Le Centre national de la recherche scientifique est une institution de recherche parmi les plus importantes au monde. Pour relever les grands défis présents et à venir, ses scientifiques explorent le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Internationalement reconnu pour l’excellence de ses travaux scientifiques, le CNRS est une référence aussi bien dans l’univers de la recherche et développement que pour le grand public.

Carte d’identité

Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

Près de 3,8 milliards d’euros de budget
Plus de 33 000 agents dont près de 29 000 scientifiques
Plus de 1100 laboratoires de recherche en France et à l’étranger

Statut : Établissement public à caractère scientifique et technologique (EPST)

Date de création : 19 octobre 1939

Président-directeur général : Antoine Petit

Siège : 3, rue Michel-Ange, Paris 16e

Domaines de recherche :
 

  • Biologie
  • Chimie
  • Ecologie et environnement
  • Homme et société
  • Ingénierie et systèmes
  • Mathématiques
  • Nucléaire et particules
  • Physique
  • Sciences de l’information
  • Terre et Univers

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A venir.

Missions

La raison d'être du CNRS est de mener des recherches fondamentales au service de la société dans tous les champs de la connaissance.

Une raison d'être qui se décline en cinq missions :

1. Faire de la recherche scientifique

Le CNRS mène « toutes les recherches présentant un intérêt pour l'avancement de la science ainsi que pour le progrès économique, social et culturel du pays ». Orientée vers le bien commun, cette approche de la recherche est multidisciplinaire, tournée vers le long terme et ouverte sur l’inconnu. 

2. Valoriser les résultats

Technologies, développement durable, questions de société, le CNRS entend faire bénéficier la société des avancées accomplies. Pour cela, de nombreux dispositifs de transfert et de valorisation sont mis en place, notamment avec les partenaires industriels.

3. Partager les connaissances

Le CNRS donne accès aux travaux et aux données de la recherche car ils font partie d’un patrimoine commun. Ce partage du savoir vise différents publics : communauté scientifique, médias, grand public. 

4. Former par la recherche

La transmission des connaissances passe aussi par « la formation à et par la recherche », le CNRS accueillant chaque année dans ses laboratoires des centaines de futurs chercheurs, doctorants et post-doctorants.

5. Contribuer à la politique scientifique

Le CNRS participe à la stratégie nationale de recherche avec ses partenaires, notamment sur les grands sites universitaires français. Il réalise également des évaluations et des expertises sur des questions de nature scientifique.

Identifier, effectuer ou faire effectuer, seul ou avec ses partenaires, toutes les recherches présentant un intérêt pour la science ainsi que pour le progrès technologique, social et culturel du pays.
Mission confiée par l’État au CNRS, décret du 24 novembre 1982

Éthique, déontologie, intégrité scientifique et lancement d’alerte

L’éthique, la déontologie et l’intégrité scientifique sont au cœur des valeurs de l'établissement.

L’éthique nous invite à réfléchir aux valeurs qui motivent nos actes et à leurs conséquences et fait appel à notre sens moral et à celui de notre responsabilité. La déontologie réunit les devoirs et obligations imposés à une profession, une fonction ou une responsabilité. L'intégrité scientifique concerne, quant à elle, la « bonne » conduite des pratiques de recherche.

Au CNRS, ces questions sont confiées au référent déontologue, référent lancement d’alerte, référent intégrité scientifique, à la médiatrice et au comité d’éthique du CNRS.

En savoir plus

L’activité de recherche a vocation à contribuer au développement des connaissances et à l’avancement de la science. Elle s’appuie sur des principes d’honnêteté, d’intégrité et de responsabilité sur lesquels la société fonde sa confiance en la recherche.
Comité d’éthique du CNRS, Pratiquer une recherche éthique et responsable

Un guide sur les bonnes pratiques

Centré sur l’activité concrète des chercheurs, le guide Pratiquer une recherche éthique et responsable rappelle le cadre de travail des chercheurs : fonction publique, droits et devoirs des fonctionnaires et responsabilité professionnelle (non-discrimination, lutte contre le harcèlement, égalité femmes-hommes) notamment vis-à-vis des doctorants. Il recense par ailleurs les règles de base de la production et du traitement des données scientifiques (fiabilité, traçabilité, etc.) et de leur publication (plagiat, droit d’auteur, libre accès, etc.). Le guide aborde également les questions de propriété intellectuelle et de conflit d’intérêts. Pour tous ces points, il formule des préconisations.

Le Comité d’éthique du CNRS

Créé en 1994, le Comité d'éthique du CNRS (Comets) est une instance consultative indépendante placée auprès du conseil d'administration du CNRS. Il représente toutes les disciplines et respecte la parité. Il a pour mission :

  • développer la réflexion sur les aspects éthiques suscités par la pratique de la recherche, ses enjeux et ses rapports avec la société
  • sensibiliser les chercheurs et les personnels à l'importance de l'éthique
  • formuler des avis assortis de recommandations

Le Comets n'intervient pas directement dans les controverses scientifiques et ne traite pas les cas particuliers, lesquels relèvent de la médiatrice du CNRS.

Éthique opérationnelle et bioéthique

Pour toutes les questions liées à la réglementation éthique, le COMETS peut faire appel à des expertises internes ou externes au CNRS. Le COMETS travaille notamment avec la cellule Réglementation et Bioéthique de l'Institut des sciences biologiques (INSB) du CNRS qui est la structure référente pour les questions d’éthique opérationnelle des laboratoires.

 

Concernant la certification de conformité aux règles éthiques américaines des recherches impliquant l'être humain, il peut être fait appel en cas de besoin au comité d'évaluation éthique de l'Inserm (CEEI) ou Institutional Review Board (IRB) : Contacter en amont la cellule Réglementation et Bioéthique de l'Institut des sciences biologiques (INSB) du CNRS qui qualifie la recherche et oriente le cas échéant vers le Comité d’évaluation éthique adéquat.

 

Pour l'évolution de la législation et de la réglementation en matière de bioéthique et notamment les recherches impliquant la personne humaine, la cellule Réglementation et Bioéthique du CNRS est également compétente.

En savoir plus

Un employeur engagé

Le label européen « HR Excellence in Research » (HRS4R)

  • La Stratégie européenne des ressources humaines pour la recherche (HRS4R)
    Depuis 2005, le CNRS s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue visant à une meilleure prise en compte des recommandations de la Charte européenne du chercheur et du Code de conduite pour le recrutement des chercheurs.
    Le CNRS a ainsi obtenu de la part de la Commission européenne le label « HR Excellence in Research » le 10 février 2017 lui permettant ainsi de valoriser son environnement de travail et la qualité de sa gestion des ressources humaines.
    Dans le cadre de son plan d’actions HRS4R (2017-2020), le CNRS a pris des engagements dans cinq domaines prioritaires : la déontologie et l’intégrité scientifique, le recrutement, la Qualité de vie au travail (QVT), la non-discrimination et le développement professionnel.
  • Plan d’actions révisé (2019-2021)
    Deux ans après l’obtention du label « HR Excellence in Research », l’évaluation intermédiaire, conduite par le comité de pilotage HRS4R, a mis en exergue le fait que les actions prévues en 2017 et 2018 avaient été pour la grande majorité d’entre elles réalisées, voire enrichies pour certaines.
    Le plan d’actions révisé a repris les actions du plan initial, enrichi de 15 nouvelles actions venant en soutien des principaux axes stratégiques de la politique de l’établissement.
  • Renouvellement du label HRS4R (2022-2024)
    L’année 2023 est celle du renouvellement du label HRS4R pour le CNRS. Dans cette perspective, un bilan des actions de la période précédente a été dressé et un nouveau plan d’actions, à destination de tous ses personnels, est proposé à la Commission européenne pour les trois années à venir.

Engagement pour l’égalité professionnelle

La Mission pour la place des femmes au CNRS, rattachée à la présidence du CNRS, est une instance pionnière dans l’univers de la recherche en France. Depuis 2001, elle s’attache à promouvoir l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, et l’intégration de la dimension de genre dans les programmes de recherche.

34,6 % de femmes parmi les chercheurs contre 49,7 % parmi les ingénieurs et techniciens. Malgré des progrès récents, la parité femme-homme n’est pas encore atteinte chez les scientifiques.
Elisabeth Kohler, Directrice de la mission pour la place des femmes

Le plan d’action « Agir pour l’égalité professionnelle au CNRS » (2014) comporte quatre axes de travail principaux : agir pour l’égalité professionnelle au sein du CNRS (recrutement, carrières, distinctions) ; promouvoir la transversalité de l’approche « genre » en recherche ; valoriser les carrières scientifiques et techniques auprès des jeunes, notamment les filles ; développer les partenariats européens et internationaux.

Site de la Mission pour la place des femmes au CNRS

Prévention des conflits

Médiation

La médiatrice du CNRS, Pascale Beyma, intervient dans la prévention et la gestion des difficultés relationnelles et des conflits interpersonnels dans le cadre du travail, ayant des répercutions au niveau individuel et collectif. Dans le respect du code national de déontologie du médiateur, elle met en œuvre les principes fondateurs de la médiation que sont l’indépendance, la confidentialité des échanges, l'écoute, l’impartialité, la neutralité, et le caractère volontaire de la démarche.

Dans le cadre de cette mission, la médiatrice peut être amenée à faire des observations ou des propositions d'amélioration d’organisation ou de fonctionnement. Elle ne dispose cependant d’aucun pouvoir décisionnaire. Chaque année, elle adresse un rapport anonymisé au président-directeur général du CNRS et rend compte de ses activités devant le Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) du CNRS.
Sont exclus du champ d'intervention de la médiatrice : les problématiques en rapport avec l'intégrité scientifique et la déontologie.

Signalement

Tel que prévu par la loi du 6 août 2019 relative à la transformation de la fonction publique, le CNRS met une cellule d'écoute et de soutien à la disposition des agents qui s'estiment victime ou témoin d'un acte de violence, d'un acte de discrimination, d'actes de harcèlement moral ou sexuel ou d'agissements sexistes.

Le fonctionnement du dispositif fait l'objet d'une circulaire dédiée. Les fonctions de référent signalements sont assurées par Joël Moret-Bailly, qui est assisté d'une Cellule signalements.

Prévention des risques professionnels

L'activité de recherche, aussi diverse que passionnante, n'est pas sans risques pour la santé et la sécurité du personnel. Le CNRS s’engage à bâtir un environnement de travail sain et à intégrer les questions de santé et de sécurité à l'ensemble de ses activités pour limiter les accidents et incidents. 
Pour ce faire, il s’agit, en lien avec les représentants du personnel au sein des instances de dialogue social compétentes (Comité social d’administration, Formation spécialisée en santé, sécurité et conditions de travail…) :

  • De mener à bien l'évaluation des risques professionnels dans ses 1100 laboratoires, en France et à l’étranger.
    Chaque unité doit réaliser et mettre à jour annuellement un Document unique d'évaluation des risques professionnels (DUERP). Afin d’aider les laboratoires dans cette démarche, le CNRS a développé un outil informatique. 
  •  De mettre en œuvre annuellement un programme national de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail, se déclinant en 17 programmes régionaux et autant de plan d'actions que de laboratoires.
    Le programme national, conçu collectivement par 4 directions (Coordination nationale de médecine de prévention, Coordination nationale de prévention et sécurité , Direction des ressources humaines et Direction de la stratégie financière, de l'immobilier et de la modernisation) tient compte avant tout de la réalité du terrain mais aussi des orientations stratégiques ministérielles en la matière.
  • De développer une documentation et une communication régulière en matière de prévention et sécurité.
    Le pôle santé sécurité met à disposition des unités guides et documents sur les principaux risques rencontrés dans les laboratoires.
  • De former le personnel aux questions de santé et sécurité au travail et d’animer le réseau des assistants de prévention (2200 personnes).
    Près de 8000 personnes sont formées en moyenne chaque année sur les questions de sécurité du travail (premiers secours, nouveaux entrants, risques spécifiques, …). Les assistantes et assistants de prévention, présents dans toutes les unités, bénéficient également d’une formation initiale et continue.

Gouvernance

Le CNRS est dirigé par des scientifiques depuis sa création. Une gouvernance qui permet à l’organisme de mettre toutes ses ressources au service de la recherche… et de se montrer novateur en matière d’éthique et d’égalité professionnelle.

La direction de l'établissement

La direction générale

La direction générale est l’instance décisionnelle du CNRS qui comprend en premier lieu son président-directeur général. Issu de la communauté scientifique, celle-ci est nommée en Conseil des ministres sur proposition du ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. La direction générale est également composée du directeur général délégué à la science, du directeur général délégué aux ressources, du directeur général délégué à l'innovation et de la directrice de cabinet du président-directeur général.

Le comité de direction

Le comité de direction réunit autour de la direction générale les responsables des dix instituts et de la direction de la communication.

L’organisation scientifique

La direction générale déléguée à la science (DGDS)

La DGDS conduit, aux côtés du président-directeur général, la politique scientifique de l'établissement. Elle coordonne l'action des dix instituts du CNRS, veille à promouvoir l'interdisciplinarité et organise les partenariats avec les divers acteurs de la recherche, à l'échelle régionale, nationale, européenne ou internationale. Dans ce cadre, et en relation étroite avec la direction générale déléguée aux ressources, elle s'appuie sur les compétences des délégations régionales.

Les instituts

La direction scientifique du CNRS comprend dix instituts qui pilotent la stratégie de recherche de l'organisme et coordonnent les activités et les projets des laboratoires qui leur sont rattachés. Chaque institut couvre des champs disciplinaires plus ou moins étendus en biologie, physique, chimie, ingénierie, sciences humaines et sociales, mathématiques, écologie, sciences de l’information et sciences de l’univers.

En savoir plus sur les instituts

Le conseil d'administration

Le conseil d'administration du CNRS analyse et fixe, après avis du conseil scientifique, les grandes orientations de la politique du Centre en relation avec les besoins culturels, économiques et sociaux de l'ensemble de la nation. Il définit les principes qui régissent ses relations avec les partenaires socio-économiques ainsi qu'avec les universités et les organismes nationaux, étrangers ou internationaux intervenant dans ses domaines d'activité.

Le conseil d'administration

L’organisation administrative

La direction générale déléguée aux ressources (DGDR)

La DGDR conduit, aux côtés du président-directeur général, la politique administrative et financière de l'établissement. Elle est responsable du développement des ressources humaines et des activités de soutien à la recherche. Dans ce cadre, et en relation étroite avec le DGDS, elle s'appuie sur les compétences des instituts du CNRS.

L’organisation territoriale

Les délégations régionales

Les 17 délégations régionales du CNRS ont un rôle de gestion et d’accompagnement de proximité des laboratoires répartis sur le territoire. Elle sont en lien avec les partenaires académiques du CNRS. Elles apportent notamment leur aide pour le montage de projets industriels et de programmes européens.

En savoir plus sur les délégations régionales

L'organisation de l'innovation 

La direction générale déléguée à l'innovation (DGDI)

La direction générale déléguée à l'innovation conduit, aux côtés du président-directeur général, la politique de valorisation de l’établissement. À ce titre, il coordonne notamment l’action de la direction des relations avec les entreprises, de la direction des affaires juridiques, de la filiale nationale de valorisation CNRS Innovation ainsi que du réseau des services partenariat et valorisation. Il s’appuie, plus largement, sur toutes les entités du CNRS impliquées dans le processus de valorisation.

Un financement au service de la recherche publique

Le financement des activités du CNRS est principalement assuré par le versement d’une subvention d’État votée en loi de finances, à laquelle s’ajoutent différentes ressources dites « ressources propres » de l’organisme. Ces dernières sont notamment liées aux contrats de recherche, signés principalement suite au succès à des appels à projets avec des organismes publics, français ou européens, et en moindre proportion avec des entreprises privées. Il s’agit également de subventions reçues d’autres institutions (universités, organismes de recherche, etc.).

Les principales caractéristiques du budget du CNRS sont les suivantes :

  • son budget représente près de 3,8 milliards d’euros ;
  • ses ressources proviennent à près de 74 % de la subvention pour charges de service public et à près de 27 % de diverses ressources propres (contrats de recherche, subventions d’appels à projets, prestations de service, etc.) ;
  • ses ressources propres se composent à plus de 80 % de contrats de recherche (près de 821 M€ en 2021).  
Près de 3,8 milliards de budget
Près de 27 % de ressources propres

(contrats de recherche, subventions d’appels à projets, prestations de service, etc.)

86.5 % des moyens dédiés aux laboratoires
Image 1
À l’instar de cette souffleuse de verre travaillant au laboratoire Kastler Brossel, le CNRS emploie des professionnels hautement qualifiés dans une grande variété de métiers. © Frédérique Plas / CNRS Photothèque / LKB

Organigramme

Direction générale

Président-directeur général

Directrice de cabinet

Directeur général délégué à la science

Directeur général délégué aux ressources

Directeur général délégué à l'innovation

Direction générale déléguée à la science

La direction générale déléguée à la science (DGDS) coordonne l'action des dix instituts du CNRS, veille à promouvoir l'interdisciplinarité et organise les partenariats avec les divers acteurs de la recherche, à l'échelle régionale, nationale, européenne ou internationale. La DGDS est dirigée par Alain Schuhl.

Directions fonctionnelles et autres entités rattachées à la DGDS (8)

Direction Europe et International (DEI)

Direction des données ouvertes de la recherche (DDOR)

Direction d'appui aux partenariats publics (DAPP)

Missions pour les initiatives transverses et interdisciplinaires (MITI)

Mission pour l'expertise scientifique (MPES)

Mission programmes nationaux (MiPN)

Comité Très grandes infrastructures de recherche (TGIR)

Secrétariat général du Comité national (SGCN)

Instituts (10)

Institut de chimie (INC)

Institut écologie et environnement (INEE)

Institut de physique (INP)

Institut des sciences biologiques (INSB)

Institut des sciences humaines et sociales (INSHS)

Institut des sciences de l'ingénierie et des systèmes (INSIS)

Institut national des sciences mathématiques et de leurs interactions (INSMI)

Institut national des sciences de l'Univers (INSU)

Institut des sciences de l'information et de leurs interactions (INS2I)

Institut national de physique nucléaire et de physique des particules (IN2P3)

Direction générale déléguée aux ressources

La direction générale déléguée aux ressources (DGDR) conduit la politique administrative et financière de l'établissement, elle est responsable du développement des ressources humaines et des activités de soutien à la recherche. La DGDR est dirigée par Christophe Coudroy.

Directrice déléguée aux cadres supérieurs (DDCS)

Directions fonctionnelles et autres entités rattachées à la DGDR

Direction des ressources humaines (DRH) (2)

Direction déléguée aux cadres supérieurs (DDCS)

Mission pour la place des femmes

Direction de la stratégie financière, de l’immobilier et de la modernisation (DSFIM)

Direction des comptes et de l'information financière (DCIF)

Direction des affaires juridiques (DAJ)

Direction des systèmes d'information (DSI)

Direction de la sûreté (DIRSU)

Mission Transverse d’Appui au Pilotage (MTAP)

Pôle santé et sécurité au travail (2)

Coordination nationale de prévention et de sécurité (CNPS)

Coordination nationale de médecine de prévention (CNMP)

Direction générale déléguée à l'innovation

La direction générale déléguée à l’innovation conduit la politique de transfert des résultats de la recherche, de leur valorisation et des interactions avec le monde socio-économique. La DGDI est dirigée par Jean-Luc Moullet.

Direction des relations avec les entreprises (DRE)

CNRS Innovation

Instances rattachées à la présidence

Direction de la communication

Fonctionnaire de sécurité de défense (FSD)

Déléguée à la protection des données (DPD)

Direction de l'audit interne (DAI)

Comité d'éthique (COMETS)

Médiatrice

Référent déontologue

Référent lancement d'alerte

Référent chargé de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme

Référent laïcité

Référent signalements

Référent intégrité scientifique / Mission à l’intégrité scientifique (MIS)

Directrice de la mission pour la place des femmes (MPDF)

Comité pour l'histoire

Délégations régionales

Les dix-huit délégations régionales du CNRS sont les interlocutrices de premier plan des partenaires de l’organisme sur le terrain. Elles ont un rôle de gestion et d’accompagnement de proximité des laboratoires répartis sur le territoire. Elles apportent notamment leur aide pour le montage de projets industriels et de programmes européens.

Unités de recherche

Le CNRS compte environ 1 100 laboratoires répartis sur l’ensemble du territoire français. Ce sont en très grande majorité des unités mixtes de recherche (UMR) associées à une université, une école supérieure ou un autre organisme de recherche. À ces laboratoires s’ajoutent 36 unités mixtes internationales (UMI).

Conseil d'administration

Le conseil d'administration du CNRS analyse et fixe, après avis du conseil scientifique, les grandes orientations de la politique du Centre en relation avec les besoins culturels, économiques et sociaux de l'ensemble de la nation. Il définit les principes qui régissent ses relations avec les partenaires socio-économiques ainsi qu'avec les universités et les organismes nationaux, étrangers ou internationaux intervenant dans ses domaines d'activité. Le conseil d'administration est présidé par Antoine Petit.

Comité national de la recherche scientifique

Placé auprès du CNRS, le comité national (CoNRS) conseille la gouvernance de l'organisme et les directions des instituts. Grâce aux travaux de ses instances, il contribue à l'élaboration de la politique scientifique de l'établissement, procède à l'analyse de la conjoncture et de ses perspectives, participe au recrutement et au suivi de la carrière des chercheurs ainsi qu'au suivi de l'activité des unités de recherche.

Palmarès

Présent dans tous les champs de la connaissance, le CNRS se classe parmi les premiers organismes de recherche mondiaux pour ses excellents résultats en recherche et innovation.

Le CNRS aux premiers rangs des classements internationaux

Nés dans les années 2000, les classements internationaux comparent les établissements de recherche et d’enseignement supérieur selon des critères quantitatifs et qualitatifs. Ils peuvent être réalisés par des sociétés privées d’analyse de l’information, des éditeurs scientifiques commerciaux ou des groupes publics de recherche. L’apparition des classements internationaux et la place qu’ils ont pris dans le paysage de la recherche sont à mettre en relation avec le contexte de concurrence entre établissements à l’échelle mondiale.

4e au classement Nature Index

En 2020, le CNRS est au 4e rang mondial du classement Nature Index, le classement international des institutions scientifiques de la revue Nature.

Nature Index

2e au classement Scimago Institutions Rankings

Selon le classement SIR (Scimago Institutions Rankings) 2019, le CNRS est la deuxième plus importante institution de recherche mondiale en nombre de publications scientifiques. Désormais devancé par l’Académie des sciences de Chine, le CNRS se maintient devant l’université de Harvard (États-Unis). Ce classement évalue plus de 5 100 universités et organismes de recherche à travers le monde et se fonde sur l'indexation des publications scientifiques mondiales dans la base de données Scopus.

Scimago

 

6e déposant de brevet en France

Le CNRS se place à la 6e place du palmarès des déposants de brevets publiés en 2020 auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi) et confirme ainsi sa place d’acteur majeur de l’innovation.

Site de l'Inpi

3e institution de recherche la plus visible sur le Web

Le CNRS figure au 2e rang mondial et au 1er rang européen selon le classement mondial « Webometrics », dédié à la visibilité des instituts de recherche sur le Web.

Webometrics

 

8e organisme public de recherche le plus innovant

Pour Thomson Reuters, le CNRS se place au 8e rang mondial des organismes publics de recherche les plus innovants au monde.

Thomson Reuters

 

Rapport d'activité

Le rapport d'activité du CNRS présente une sélection des résultats scientifiques des recherches menées dans les laboratoires, le plus souvent en collaboration avec les universités, les organismes de recherche, les grandes écoles, les entreprises ou encore les institutions de recherche étrangères. Cette brochure met également en valeur la stratégie du CNRS en termes de valorisation, de partenariats et de modernisation de son administration.

Rapport d'activité par année :

Recrutement

Au sein d’une équipe, d’un laboratoire, d’un service, d’une délégation ou encore d’un grand équipement, les personnels du CNRS travaillent sur l’ensemble du territoire à développer ou accompagner un projet de recherche.

Des permanents recrutés par concours et des contractuels

Le CNRS emploie plus de 33 000 agents : plus de 28 900 scientifiques (plus 16 500 chercheurs et près de 12 400 ingénieurs et techniciens) et près de 4 100 ingénieurs et techniciens dans les fonctions supports. Les permanents sont recrutés par voie de concours externes, ouverts en décembre pour les chercheurs et en juin pour les ingénieurs et techniciens. Plus de 90 nationalités différentes évoluent au sein des unités.
Le CNRS recrute aussi par voie contractuelle (cliquer ici) et offre des opportunités de parcours professionnels (mobilité interne, concours interne, évolution de carrière).

Plus de 200 métiers

Les activités de recherche au sein des dix instituts thématiques couvrent tous les champs de la connaissance qui s’organisent en 41 sections et 5 commissions interdisciplinaires relevant du Comité national de la recherche scientifique. Les ingénieurs et techniciens, qui accompagnent et soutiennent la recherche, se répartissent en plus de 200 métiers à travers plusieurs branches d’activités professionnelles : sciences du vivant, sciences chimiques, sciences humaines et sociales, informatique, information, gestion et pilotage.

La qualité de vie au travail, une priorité

Dans le monde de la recherche, où l’engagement personnel est déterminant pour le succès des programmes scientifiques, la qualité de vie au travail est un levier essentiel de réussite. Le CNRS en a fait une de ses priorités RH en mettant en place un plan dédié (en savoir plus).

L'insertion des personnes en situation de handicap

La Mission pour l’insertion des personnes en situation de handicap met en œuvre un plan d’action visant à recruter et faciliter l’intégration professionnelle de ces agents.