Partenariats, création d'entreprises, brevets, licences, événements... Retrouvez tous les mois les dernières actualités de la valorisation et de l'innovation au CNRS.
Le CNRS a célébré la création de son 200e laboratoire commun actif avec les entreprises, en présence de la ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation et de nombreux dirigeants d’entreprises partenaires. Témoignages, récompenses, démonstrations : retour sur l'événement.
Le Laboratoire de biologie tissulaire et d’ingénierie thérapeutique, en collaboration avec la société Les laboratoires d'Anjou, a synthétisé une molécule biomimétique qui facilite la régénération des cellules et la cicatrisation de la peau. Elle est intégrée dans des produits cosmétiques et dans un baume cicatrisant utilisé par les chirurgiens esthétiques.
Une équipe de l'Institut biosciences et biotechnologies d'Aix-Marseille a identifié plus de 5 000 souches bactériennes qui, en agissant sur les interactions sols-plantes-microorganismes, favorisent la croissance et la santé des plantes. Une licence d'exploitation des micro-organismes a été signée avec la start-up BioIntrant.
La start-up BioMAdvanced, issue des recherches menées au Centre de recherche en transplantation et immunologie par Sophie Brouard, médaillée de l’innovation 2020 du CNRS, et Richard Danger, ingénieur de recherche du CHU de Nantes, développe des tests de diagnostic qui, par une simple prise de sang, détectent le risque de rejet d'un organe greffé. Premières applications visées : le suivi des patients ayant subi une greffe du rein ou du poumon.
La start-up Vibiscus, issue de l'institut Femto-ST, développe des matériaux de faible épaisseur qui atténuent les bruits, notamment dans les basses fréquences. Première application visée : la réduction du bruit des systèmes de ventilation.
Giorgio Santarelli, ingénieur de recherche CNRS au Laboratoire photonique, numérique et nanosciences, est lauréat du 2e Prix Fieec Carnot de la Recherche appliquée. Ses travaux sur de nouveaux lasers sont liés au laboratoire commun Starlight+ créé par le LP2N avec la société AzurLight Systems.
Le Laboratoire lorrain de recherche en informatique et ses applications et la société Wallix créent le laboratoire commun Cybermallix, afin de développer des solutions prédictives de détection de logiciels malveillants (malwares), basées sur l'intelligence artificielle.
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