New York. Après deux décennies de négociations, soixante pays ont ratifié, le 19 septembre, le Traité sur la haute mer. Dans le prolongement de l’Année de la mer, de la 3e Conférence des Nations unies sur l’océan et de son pilier scientifique, l’OOSC, coorganisé par le CNRS, l’organisme s’affirme comme un acteur de cette dynamique. Grâce à son rôle unique de coordination, il mobilise toutes les disciplines – du climat aux sciences humaines – pour fournir aux décideurs les connaissances indispensables à des politiques éclairées et durables. Une contribution qui ancre la recherche française au cœur des choix stratégiques de demain. Pour aller plus loin, retrouvez la série de La Lettre du CNRS consacrée à ces enjeux.
Bruxelles. Dans son discours sur l’état de l’Union, Ursula von der Leyen a rappelé que l’indépendance de l’Europe repose sur un investissement massif dans la recherche, le numérique et les technologies. La Commission a déjà esquissé sa vision du futur programme-cadre 2028-2034, avec une ambition claire : doubler le budget d’Horizon Europe et préparer une « Arpa européenne ». Décryptage avec le directeur du Bureau du CNRS à Bruxelles.
Paris. Innovation toujours. Face à l’accélération technologique mondiale, la France et l’Europe vont plus vite et plus fort pour transformer leurs atouts scientifiques en solutions concrètes. Présent pour la première fois à l’événement BIG de Bpifrance, le CNRS a rappelé combien la recherche publique est un moteur essentiel de cet écosystème, aux côtés des entreprises et des territoires. C’est également tout l’enjeu de l’Année de l’Ingénierie, entre objectifs de réindustrialisation du pays et construction d'un avenir soutenable.