Tous les regards - et celui du CNRS - se tournent déjà vers l’UNOC3, la grande conférence des Nations unies sur l’océan qui se tiendra à Nice en juin prochain. La réalité est là. Les températures océaniques battent des records, les grands fonds marins attirent toutes les convoitises, et des flottes fantômes menacent les infrastructures sous-marines.
2025 sera donc l’année de l’Océan. Dans ce contexte, La Lettre du CNRS lance une série d'articles thématiques sur les enjeux océaniques. Premier volet : comment France 2030 (plan d'investissements massif pour l'industrie et les technologies de demain) s'est engagé pour l'océan au travers de quatre programmes emblématiques.
Et aussi
Effervescence Arrivée de la tech à la Maison Blanche, aspiration à une politique européenne audacieuse en IA, recommendations portées par Mario Draghi... Alain Mermet, à la tête de la direction Europe et International du CNRS, dévoile son regard sur la place de l'organisme dans un contexte international en pleine ébullition.
Challenge L'État veut en savoir plus sur le plastique utilisé dans l’agriculture et l'alimentation ou sur les parcs éoliens en mer. Il a mandaté la Mission pour l’expertise scientifique du CNRS pour éclairer la décision et le débat public sur ces grands enjeux.
Ancrage Il se dit que le XXIe siècle sera un siècle africain. Après Pretoria, le CNRS a ouvert un second bureau sur le continent, cette fois à Nairobi. L'organisme devra y relever le défi de soutenir son ADN de recherche fondamentale sur un continent ancré dans des besoins sociétaux.